Les articles se font rares en ce moment. Ça n'est pas qu'il n'y a pas d'actualités archéologiques, mais l'espace dans les journaux est plutôt occupé par la gestion de la crise nucléaire, les efforts de reconstruction, la vie des réfugiés...
L'Agence des Affaires Culturelles a annoncé le 30 mars la formation d'un 「Comité de Sauvetage des Propriétés Culturelles」 au sein duquel travailleront des universitaires, des employés de musées et du personnel administratif.
Ce comité aura pour mission de répertorier, récupérer et restaurer les propriétés culturelles situées dans les zones sinistrées, avec le concours des sociétés de restauration et de conservation et de l'association des musées et galeries d'arts.
416 trésors nationaux ou propriétés culturelles nationales importantes sont recensées dans les zones sinistrées, auxquelles doivent s'ajouter celles qui sont enregistrées au niveau préfectoral ou local (un bien culturel, qu'il s'agisse d'un objet, d'un bâtiment ou d'un site, peut être reconnu comme tel au niveau local (municipal), préfectoral et national : ces trois statuts ne sont pas exclusifs) et celles en attente de classement.
Le Comité devra pour le moment concentrer ses efforts sur les propriétés culturelles "transportables" : vaisselle en céramique, statues, outils agricoles, anciens documents, anciennes photos... Ces objets peuvent être conservés dans des musées ou des galeries d'arts, mais aussi chez des particuliers. Les objets répertoriés seront évacués vers des musées où leur état sera évalué et où les opérations de restauration nécessaires seront effectuées.
Un tel comité avait également été mis en place après le grand tremblement de terre de Hanshin Awaji en 1995.
Il existe un 「Réseau National de Préservation du Matériel Historique」, avec une branche dans chaque préfecture. Ce réseau s'est déjà occupé au niveau local de prodiguer des conseils aux propriétaires de biens culturels qui pourraient avoir été abîmés dans le raz-de-marée.
L'Agence des Affaires Culturelles a annoncé le 30 mars la formation d'un 「Comité de Sauvetage des Propriétés Culturelles」 au sein duquel travailleront des universitaires, des employés de musées et du personnel administratif.
Ce comité aura pour mission de répertorier, récupérer et restaurer les propriétés culturelles situées dans les zones sinistrées, avec le concours des sociétés de restauration et de conservation et de l'association des musées et galeries d'arts.
416 trésors nationaux ou propriétés culturelles nationales importantes sont recensées dans les zones sinistrées, auxquelles doivent s'ajouter celles qui sont enregistrées au niveau préfectoral ou local (un bien culturel, qu'il s'agisse d'un objet, d'un bâtiment ou d'un site, peut être reconnu comme tel au niveau local (municipal), préfectoral et national : ces trois statuts ne sont pas exclusifs) et celles en attente de classement.
Le Comité devra pour le moment concentrer ses efforts sur les propriétés culturelles "transportables" : vaisselle en céramique, statues, outils agricoles, anciens documents, anciennes photos... Ces objets peuvent être conservés dans des musées ou des galeries d'arts, mais aussi chez des particuliers. Les objets répertoriés seront évacués vers des musées où leur état sera évalué et où les opérations de restauration nécessaires seront effectuées.
Un tel comité avait également été mis en place après le grand tremblement de terre de Hanshin Awaji en 1995.
Il existe un 「Réseau National de Préservation du Matériel Historique」, avec une branche dans chaque préfecture. Ce réseau s'est déjà occupé au niveau local de prodiguer des conseils aux propriétaires de biens culturels qui pourraient avoir été abîmés dans le raz-de-marée.