Car je suis sûre que le monde entier attend avec impatience de connaître les conclusions de ces recherches.
Rappelons donc qu'hier, 16 archéologues ont été autorisés à marcher sur une digue autour de la tombe attribuée à l'empereur Ōjin, Kondagōbyōyama kofun.

Yamada Kunikazu, directeur de l'Association Archéologique Japonaise nous fait part de ses observations :
「Il y a des tessons de haniwas de-ci de-là」
「Il est extrêmement rare que la digue soit en si bon état sur un kofun comme celui-ci」 (ce à quoi j'aimerais répondre "comment le sais-tu, on n'a pas encore eu le droit de marcher sur la digue des autres ?")
Voilà.
Oui bah forcément, à marcher trois heures sur une digue, on révolutionne pas non plus la vision établie de la période kofun !
Il semblerait que les haniwas soient disposées en rang linéaire, en deux endroits différents sur la digue.
Monsieur Yamada a également déclaré :
「Pour comprendre l'histoire antique, il est nécessaire d'étudier les grands kofuns. Même en ne faisant que marcher, nous avons pu obtenir de nombreuses informations*.J'ai de nouveau ressenti la grandeur du kofun. La prochaine fois, je veux pouvoir entrer sur le tumulus.」
C'est beau l'espoir.
* comme : "il y a des haniwas sur les kofuns"
Rappelons donc qu'hier, 16 archéologues ont été autorisés à marcher sur une digue autour de la tombe attribuée à l'empereur Ōjin, Kondagōbyōyama kofun.

Yamada Kunikazu, directeur de l'Association Archéologique Japonaise nous fait part de ses observations :
「Il y a des tessons de haniwas de-ci de-là」
「Il est extrêmement rare que la digue soit en si bon état sur un kofun comme celui-ci」 (ce à quoi j'aimerais répondre "comment le sais-tu, on n'a pas encore eu le droit de marcher sur la digue des autres ?")
Voilà.
Oui bah forcément, à marcher trois heures sur une digue, on révolutionne pas non plus la vision établie de la période kofun !
Il semblerait que les haniwas soient disposées en rang linéaire, en deux endroits différents sur la digue.
Monsieur Yamada a également déclaré :
「Pour comprendre l'histoire antique, il est nécessaire d'étudier les grands kofuns. Même en ne faisant que marcher, nous avons pu obtenir de nombreuses informations*.J'ai de nouveau ressenti la grandeur du kofun. La prochaine fois, je veux pouvoir entrer sur le tumulus.」
C'est beau l'espoir.
* comme : "il y a des haniwas sur les kofuns"